Biographie De Jean Louis Trintignant – Né le 11 décembre 1930 à Piolenc, en France, Jean-Louis Trintignant est un acteur, réalisateur et pilote de course français.

Il est connu pour son travail dans les deux domaines. Jean-Louis Trintignant est né le 11 décembre 1930 dans le village de Piolenc, situé dans le département du Vaucluse en France. C’est un industriel comme son père, Raoul Trintignant, qui a été élu pour représenter Pont-Saint-Esprit dans le Gard.
Son père est son fils. Après avoir vu une production de L’Avare de la troupe de Charles Dullin alors qu’il n’avait que 19 ans, il décide de poursuivre une carrière au théâtre. Il étudie actuellement le droit à l’Université d’Aix-en-Provence.
Au début des années 1950, il prend la décision de s’éloigner de sa ville natale et d’aller à l’école de théâtre à Paris. Parallèlement, il s’inscrit aux cours de réalisation de l’Institut des hautes études cinématographiques (IDHEC), qu’il envisage de suivre simultanément.
Le metteur en scène, Maurice Jacquemont, réussit à le convaincre de revenir sur les planches, où il interprète le rôle d’Hamlet. Après cela, il suit Roger Vadim à travers les rebondissements des décors dans Liaisons dangereuses dans l’année 1960. (1959).
Un homme et une femme
Après cela, il établit des parallèles entre les fusillades survenues en France et en Italie. Mais il s’est véritablement imposé comme une célébrité avec le film “Un homme et une femme”, qui a été nominé et a remporté de nombreux prix.
Après être devenu célèbre, il a refusé plusieurs offres pour jouer dans des films américains, notamment Rencontres du troisième type et Apocalypse Now, et s’est plutôt concentré sur sa carrière en France.
Tout au long des années 1970, il était un incontournable sur le devant de la scène, apparaissant dans des films tels que “Un homme à tuer”, “Z”, “Ma nuit chez Maud” et “Le conformiste”.
Une journée bien remplie et Le maître nageur, qu’il a tous deux réalisés mais malheureusement bombardés comme des flops au box-office, ont tous deux été produits pendant cette période par lui derrière la caméra.
En outre, il a joué dans deux films qui ont pris position contre le fascisme et la dictature : Le Combat dans l’ile, réalisé par Alain Cavalier et sorti en 1962, et Z, réalisé par Costa-Gavras et interprété par Yves Montand. et pour lequel il a reçu le prix du meilleur acteur au Festival de Cannes en 1969.
Il a eu une carrière couronnée de succès dans le cinéma d’auteur, les films grand public et le théâtre, où il joue fréquemment des rôles d’anti-héros caractérisés par un charisme séduisant, une voix de velours tourmentée et caustique et une parole douce et veloutée.

Il est un brillant exemple de talent parmi les acteurs les plus accomplis de son temps.Au Festival du film de Berlin (Berlinale) en 1968, il est honoré de l’Ours d’argent dans la catégorie du meilleur acteur pour sa performance dans le film L’Homme qui ment d’Alain Robbe-Grillet.
Il tient ensuite le rôle principal dans Le Grand silence, un western spaghetti réalisé par Sergio Corbucci et interprété par Klaus Kinski.
Ce film s’imposera au fil du temps comme une référence de la catégorie, et en 2012, il sera sélectionné pour servir de pièce maîtresse d’un hommage à l’acteur qui se tiendra à la Cinémathèque.
L’année suivante, il joue aux côtés de Françoise Fabian dans le film Ma nuit chez Maud, réalisé par Éric Rohmer et qui se hisse immédiatement au rang de classique.
Dans le film Le Conformiste, réalisé par Bernardo Bertolucci et adapté d’un roman écrit par Alberto Moravia, Jean-Louis Trintignant interprète ce qu’il considère comme son meilleur rôle à ce jour, Marcello Clerici, en 1970. Le Conformiste est largement considéré comme l’une des œuvres les plus abouties de Bertolucci.
Au début des années 1980, l’acteur est apparu dans plusieurs films acclamés par la critique, dont La Banquière, Une affaires d’hommes, Vivement dimanche et Le Bon Plaisir.
Il travaille à nouveau avec Claude Lelouch sur la suite du film qui lance sa carrière, intitulé Un homme et une femme : Vingt ans après. Cependant, la suite n’a pas eu le même niveau de succès commercial que la première.
En revanche, l’acteur qui en a assez de jouer est moins courant sur grand écran. Il est plus intéressé à consacrer son temps et son énergie à d’autres activités, comme aller au théâtre.
Janis and John
En conséquence, il est membre de plusieurs ensembles. Cependant, il accepte de participer à quelques films, mais suite à la sortie de Janis et John (2002), il a cessé d’apparaître au cinéma.
Au bout de 10 ans, il a eu sa percée dans Amour de Michael Haneke, qui a été nominé pour la Palme d’Or et lui a valu le César du meilleur acteur. Dans le film Happy Hend, il retravaille avec le cinéaste (2017).
le 12 mars 2021, il fait une apparition à la 46e cérémonie des César, animée par Marina Fos. Il a donné les noms des espoirs masculins et féminins, nommant respectivement la jeune Fathia Youssouf pour son rôle dans Mignonnes et Jean-Pascal Zadi pour la réalisation et sa prestation dans Tout simplement noir 10.