Béatrice Brugère âge – Béatrice Brugère, actuellement substitut du procureur général près le Tribunal de grande instance de Paris, a emprunté la voie traditionnelle pour parvenir à son objectif d’accéder à l’un des plus hauts postes de l’État.

La Française a débuté son DEA d’histoire contemporaine après avoir suivi sa formation dans les classes préparatoires d’hypokhagne et de khagne ainsi que sa maîtrise d’histoire.
Après cela, elle s’inscrit aux cours de l’Institut d’études politiques de Paris, et quelques mois plus tard, elle sort diplômée de l’École nationale supérieure de la magistrature.
Béatrice Brugère débute sa carrière d’avocate en 2000 en tant que premier suppléant à la cour d’appel de Douai. En 2003, elle a commencé à travailler pour le gouvernement français au sein du ministère de la Justice.
Béatrice Brugère a passé six ans au service du gouvernement français, période pendant laquelle elle a été entre autres responsable de la lutte contre le terrorisme. En 2009, elle démissionne de son poste de ministre pour accepter un poste de juge à la 14e chambre du TGI de Paris.
Malgré ce changement, elle a continué à jouer un rôle important dans la lutte contre le terrorisme. Un domaine d’expertise auquel Béatrice Brugère consacre depuis 2011 moins de temps pour se concentrer sur son métier de substitut du procureur de la République.
Femme Française
Malgré cela, la Française est invitée à intervenir sur les plateaux de télévision lors des événements survenus à Paris en novembre 2015 en sa qualité d’ancienne juge antiterroriste.
20 avril 2020 – C’est lors d’une conversation pas du tout officielle avec Béatrice Brugère que Mademoiselle Konfidentielle a souhaité vous faire part de son point de vue sur le système judiciaire en France. Une perspective apolitique qui invite à la réflexion.
Cet événement, qui s’est déroulé le 30 juin 2017 et s’inscrivait dans une démarche concertée, visait à favoriser l’émergence de solutions consensuelles pour la mise en œuvre, jusque dans les termes les plus concrets.
des dispositions relatives aux obligations déontologiques des magistrats résultant de la loi du 8 août 2016 modifiant l’ordonnance du 22 décembre 1958 portant loi organique relative au statut de la magistrature.
Cet événement visait à favoriser l’émergence de solutions consensuelles pour la mise en œuvre, jusque dans les termes les plus concrets, des dispositions La déclaration d’intérêts faite par le magistrat.
l’entretien déontologique mené par ce dernier avec l’autorité à laquelle la déclaration est soumise , ainsi que le suivi et les extensions que les deux peuvent avoir étaient plus préoccupants.

Le nom du syndicat représentant les magistrats FO a été modifié. Le nom a été changé en « Unité des magistrats ». Cette décision, qui vise à la rendre plus attractive pour les magistrats, a été entérinée par ses membres vendredi à Paris lors d’une convention extraordinaire qui s’y est déroulée.
En France, il y a 8 000 magistrats qui exercent seuls des fonctions judiciaires Selon les résultats des dernières élections professionnelles, la fonction de magistrat de l’Unité représente sept pour cent d’entre eux.
Un processus d’ouverture du syndicat aux juges des tribunaux administratifs, ainsi qu’à ceux de la Cour des comptes et de la Cour des comptes régionale, qui sont environ 2 000 en France, interviendra parallèlement à ce nouveau baptême.
Selon Béatrice Brugère, secrétaire générale du syndicat, “Nous souhaitons devenir un point de contact unique avec le ministère de la Justice et fédérer l’ensemble des magistrats au sein de notre syndicat, qui a l’avantage unique d’appartenir à une confédération.
Juges Judiciaires
Cet objectif sera atteint en rassemblant tous les membres du syndicat. Nous assistons à une augmentation du nombre de chevauchements et de divisions peu claires des affaires qui sont traitées respectivement par les juges administratifs et les juges judiciaires.
En témoignent la mise en place des hôpitaux obligatoires, l’état d’urgence et la loi antiterroriste. Dans de nombreux cas, la liberté du peuple est ignorée tandis que le juge légal est ignoré.
Nous plaidons pour que les systèmes judiciaire, administratif et financier soient vraiment indépendants les uns des autres, et nous travaillons à améliorer la communication entre les fonctionnaires des tribunaux.