Affaire Charles Olivier Adde – Charles-Olivier Adde a tué sa femme Samantha et leur fille de 20 mois Ombeline le 16 juillet 2019 aux Rives, près de Lodève, avant de renoncer à tuer leurs deux aînés et à se suicider, comme le couple l’avait prévu.

dans un accord de suicide Il est jugé à la cour d’assises de l’Hérault, et le verdict est attendu mercredi 9 mars. Le procureur général a requis une peine de 25 ans de prison.
La troisième et dernière journée du procès de Charles-Olivier Adde débute devant la cour d’assises de l’Hérault, avec les nombreuses plaidoiries et l’acte d’accusation, avec un verdict attendu en fin de journée. Il est jugé pour ce double assassinat depuis le lundi 7 mars 2019.
Charles-Olivier Adde a finalement été reconnu coupable des meurtres de sa fille et de sa femme. Il a avoué deux meurtres en garde à vue peu après les atrocités de juillet 2019.
Les jurés de la cour d’assises de l’Hérault l’ont désormais condamné à 18 ans de prison. A Montpellier, une injonction de soins de 5 ans a également été prononcée contre l’accusé, qui est resté silencieux pendant la lecture du verdict.
L’avocat général a recommandé une peine exemplaire au regard de la catastrophe survenue le 16 juillet 2019 aux Rives, au nord de Lodève. 25 ans de prison pour des accusations criminelles
Charles-Olivier Adde, le chef d’entreprise, est coupable, selon elle. L’accusé a commis des crimes odieux. Son travail déchirant est le double assassinat “Il a délibérément tué sa femme et leur fille de 20 mois.
Ses responsabilités sont complètes.” Tout dans ce meurtre, cet horrible assassinat, a été planifié par elle.Mercredi, l’avocat général a recommandé cinq ans de prison pour Charles-Olivier Adde.
le père soupçonné du meurtre de sa femme et de sa fille de 19 mois dans un stratagème suicide finalement déjoué collectivement. “Comment cet entrepreneur parfaitement intégré.
dont on peut souligner l’ascension sociale, comment ce mari qui aide sa femme, comment ce père de trois enfants a-t-il pu venir prendre un fusil et tirer trois balles dans la tête de sa femme et quatre dans le tête a demandé l’avocate générale Isabelle Delande,
évoquant “le choc, la stupéfaction, la stupéfaction, et l’effroi” que suscite cette affaire.Charles-Olivier Adde, 42 ans, est jugé depuis lundi à Montpellier pour le meurtre de sa femme Samantha et de son bébé Ombeline en juillet 2019 dans le cadre d’un pacte de suicide lancé par son épouse. même.

Il avait prévu de tuer ses deux fils puis de se suicider, mais il avait finalement renoncé. Dans son réquisitoire, l’avocate générale, qui s’est concentrée sur les circonstances plutôt que sur l’assassinat,
a requis une injonction de soins de dix ans et demandé aux jurés d’envisager la déchéance de l’autorité parentale au père. L’hospitalisation d’Ombeline, “la princesse de la famille”, victime de malnutrition, avait été qualifiée d'”insoutenable effraction dans le domaine familial” par le magistrat : “C’est l’Inquisition.
La décision de la mère d’isoler la famille dans un village du plateau du Larzac s’est ajoutée au « lien fusionnel de Madame Adde avec ses enfants » :
C’est un amour trop énorme, trop excessif », au point que les parents « finissent par aimer mal”, a insisté Mme Delande, qualifiant le double meurtre de “crime insensé et illogique”.
“De cet amour a émergé un concept atroce”, a déclaré plus tôt dans la matinée Maître Chantal Corbier au nom des deux garçons, parties civiles, après avoir tenu son engagement pris à l’aîné en déposant son témoignage.
Il excuse son comportement en affirmant que le couple voulait éviter le placement d’Ombeline en le faisant. Après la première visite de l’enfant à l’hôpital pour malnutrition, la famille était suivie par les services sociaux depuis plus de six mois.
Cette dernière n’avait été allaitée qu’au sein et pesait quatre kilos de moins que la moyenne des jeunes de son âge. Le juge des enfants avait délivré une ordonnance de placement provisoire pour la jeune quelques jours avant les faits, ce que ses parents ne pouvaient supporter.
La séparation était impensable pour eux. Après avoir rejeté une évasion à l’étranger, le couple a choisi le “suicide collectif”. « Si la stratégie réussissait, il n’y aurait plus de conte, plus de difficulté »,
Ombeline ne serait pas la seule victime de cet acte odieux : leurs deux autres garçons, aujourd’hui âgés de 11 et 15 ans, seraient également exécutés.
Charles-Olivier Adde est allé chercher sa femme et sa fille chez leur grand-mère Marie-Claude après les avoir assassinées. Pourtant, en les voyant dans le rétroviseur lors du voyage de retour, l’accusé aurait commencé à « s’affaiblir ».
Ses inquiétudes le poussent à contacter sa mère, qui prévient les autorités tout en maintenant la communication avec son fils. Même s’il nie maintenant avoir tué ses deux fils, il dit qu’il a toujours eu l’intention de se suicider.
Diverses expertises ont exclu la perte de discernement de Charles-Olivier Adde au moment des faits, mais il est apparu “soumis à la volonté et à la volonté” de celui qu’il a tué. “N’ose pas faire du défunt un accusateur”, M
e Fabian Arakélian, l’avocat de la famille de Samantha, a insisté dans des déclarations citées par Le Parisien. Le verdict est prévu mercredi. Le père risque la prison à vie.
Les deux lascars vivent actuellement en Bretagne chez leur grand-mère paternelle, l’un en CM2 et l’autre en 3e. “Quand j’ai récupéré les enfants, ils ne savaient ni lire ni écrire, mais on s’en est sorti, parce que dans la vie, il faut s’en sortir”, raconte la grand-mère, révélant l’amour débordant de son fils pour son fils. femme, qu’il plaça « sur un piédestal ».
“Je pleure mon père”, dit l’avocat en lisant les paroles de l’adolescent, aujourd’hui âgé de 15 ans, provoquant des larmes du tribunal et un sanglot profond de l’accusé :
“Je me souviens du McDo après le karaté, en regardant des films sous la couverture, et nous faire rire dans le véhicule. Aujourd’hui, tout semble étrange. Nous avons bien travaillé ensemble.
Mardi, des psychologues et des professionnels de la psychiatrie ont dressé le portrait d’un homme de 43 ans qui “manquait de tendresse” alors qu’il avait grandi avec une mère aimante et un père absent et alcoolique.
“Fasciné” par sa femme, l’accusé lui est toujours “complètement obéissant”, selon le psychologue professionnel.”Elle ne m’a jamais imposé ses opinions, mais elle s’est rarement trompée”, assure l’accusé.

Selon l’enquête, elle a conçu le plan de suicide collectif en réponse au placement ordonné du dernier de leurs trois enfants. Il l’a finalement assassiné, ainsi que l’enfant d’environ 20 mois, en juillet 2019, mais a abandonné son projet d’assassiner leurs deux autres fils.