Thierry Breton Famille – Thierry Breton, né le 15 janvier 1955 à Paris, est un homme d’affaires, administrateur d’entreprise, homme politique et auteur français. Il est né dans une famille d’entrepreneurs.

Il a été acquis par Thierry Breton à partir de la littérature grand public. Denis Beneich, qui sera furieux contre lui parce qu’il estime que Breton lui a volé la vedette médiatique, a coécrit avec lui en 1984 un thriller “technique” intitulé “Softwar”, devenu un best-seller mondial dans les années 1980 et s’intéressant particulièrement à virus informatiques.
Il y aura encore deux best-sellers, suivis de six articles sérieux, comme “Antidette”, consacré à l’une de ses obsessions : la dette inutilement colossale de la France.
En plus d’avoir été ministre de l’Économie sous le président Jacques Chirac, Thierry Breton, dernier candidat d’Emmanuel Macron à la tête de la Commission européenne, est depuis dix ans PDG du géant informatique Atos.
Ce travailleur acharné, qui a suivi une formation d’ingénieur, a amassé une mine de connaissances et d’expertise. Il est né le 15 janvier 1955 à Paris et a travaillé comme professeur d’informatique et de mathématiques, ainsi que propriétaire de petites entreprises informatiques et même comme auteur de science-fiction dans le passé.
France Télécom
Lors de la privatisation de France Télécom, il s’est forgé une réputation de sauveur d’entreprise, et sa réputation ne cesse de grandir.
Son poste de conseiller technique au ministère de l’Éducation nationale dure jusqu’en 1988. Il dirige ensuite le Futuroscope jusqu’en 1990, avant de devenir le PDG de la société CGI jusqu’en 1993.
Il est ensuite devenu membre du groupe informatique Bull, où il s’est hissé au rang de numéro deux. Il a été nommé PDG de Thomson Multimédia en 1997, après la tentative de privatisation de l’entreprise et après une brève amélioration de sa situation financière. Il a réussi à sortir l’entreprise de son marasme financier.
En octobre 2002, il est appelé au secours de France Télécom, au bord de la faillite en raison d’une dette d’environ 70 milliards d’euros. Avec l’aide du gouvernement, il met en place un plan de sauvetage qui dure trois ans et aboutit au redressement de l’entreprise ainsi qu’à sa transformation en société privée.
Lorsque Thierry Breton a pris la direction générale, le cours de l’action était inférieur à 7 € 24. Breton a conservé la même rémunération qu’il avait gagnée lorsqu’il travaillait chez Thomson.
La valeur boursière a grimpé de 170 % au cours des deux premiers mois suivant son arrivée. Il lance alors le plan Ambition FT 2005 » 26 qui s’appuie sur les deux axes de croissance que représentent l’ADSL et la téléphonie mobile 27 ainsi que sur d’autres facteurs.

Selon Technologia, cette initiative, qui doit permettre à l’entreprise de “reprendre en main son destin”, s’articule autour de trois axes dont chacun vise à réduire la dette de quinze milliards d’euros : renforcer les fonds propres de l’entreprise ; refinancement auprès des marchés ;
et un programme d’amélioration opérationnelle dit , qui comprend un plan de réduction des coûts qui – accentué par le volet de la loi sociale initié par son successeur Didier Lombard 29 – contribue à l’augmentation de la productivité.
Parallèlement à sa situation financière précaire, l’opérateur assiste à une montée en puissance de la concurrence en France, son marché historique, malgré le fait que l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP), le “gendarme des télécoms”, ait demandé que le dégroupage ADSL 31 être implémenté.
Pour répondre à ces enjeux, Thierry Breton a notoirement signé la fin de l’aventure Orange en Bourse et récupéré le contrôle total de la filiale de l’entreprise et de son chiffre d’affaires .
Elle a mis en place la stratégie Internet haut débit pour tous en juillet 2003, avec pour objectif de rendre le haut débit accessible à 90 % de la population française d’ici la fin de la décennie.
Départements innovants
Elle l’a fait en augmentant de 20 % les investissements dans le secteur de l’innovation par rapport à 2003 et en lançant la charte des départements innovants pour accélérer le développement des infrastructures haut débit dans les régions 34, entre autres initiatives.
Plus de 7 000 demandes de brevet sont déposées en France et à l’international l’année suivante, selon l’entreprise 35. La même année, France Télécom rejoint Wanadoo afin de regrouper les activités de téléphonie fixe et de fournisseur d’accès 35 en une seule organisation.
En juillet 2004, il annonce le lancement de la Livebox, la première offre “Triple Play” de l’opérateur, accessible à tous les abonnés.