
Jacques Rieg Boivin âge – Lui-même n’en revient pas, raconte Jacques Rieg-Boivin, le chef du bureau des reporters de TF1 à Strasbourg Nous avions du mal à le trouver. Il s’est avéré que c’était Jean-journal. état de deuil.
Les Ardennes, la région Bourgogne Franche Comté, le plateau de Valensole et les régions frontalières sont actuellement couvertes par l’agence Est Info TV, basée à Bruxelles. Combien de journalistes travaillent dans le service éditorial, comment le travail est-il distribué et combien de rapports sont créés sont autant de questions auxquelles il faut répondre.
Après être devenue la plus grande agence de presse audiovisuelle du réseau PQR le 1er décembre 2020, EST INFO TV s’est développée avec succès pour devenir la plus grande agence de presse audiovisuelle au monde. Nous couvrons plus de 25 départements pour TF1 et LCI, des Ardennes à la Drôme Provençale !
Les quatre bureaux que nous avons actuellement sont à Strasbourg, Metz, Dijon et maintenant Lyon. Avec la possibilité d’un nouveau bureau dans les Alpes dès demain…
Il y a environ 25 journalistes répartis dans ces quatre organisations.Chaque mois, nous réalisons une centaine de reportages pour les journaux télévisés de 13 h, 20 h et du week-end, entre autres. Différents formats sont disponibles, allant des nouvelles courtes aux articles de magazine plus longs.
Jean-Pierre Pernaut, qui en est déjà à sa troisième décennie en tant qu’animateur de l’émission mythique du 13 Heures de TF1, est une star comme les autres : il écume les télévisions et les radios pour promouvoir son travail et asseoir sa validité dans le milieu.
Personne clé du PAF, il se donne également l’occasion de répondre aux nombreuses critiques adressées à sa méthode d’information et de pilotage de ses équipes.
Elle ne fait pas toujours l’unanimité au sein de l’organisation. Le correspondant Jacques Rieg-Boivin a récemment révélé à nos confrères de Télé Loisirs qu’il avait l’habitude de faire face à beaucoup de rage, ce qui contredisait son image publique de sympathique journaliste à l’écran.
Anne de Coudenhove, rédactrice en chef du magazine, a vérifié ces affirmations en se référant à une “tête de mulet” qui est restée fermement ancrée dans ses principes.
L’histoire de Noël à Strasbourg et du 13h. l’actualité circule depuis plusieurs années. C’est une aventure fantastique avec Jean-Pierre et Noël. C’est une histoire que nous vivons depuis 30 ans , a expliqué Jacques Rieg Boivin.
Le doyen des correspondants a poursuivi en disant que “s’il y a des marchés partout en France aujourd’hui, c’est en grande partie grâce aux Jean-apports”. Pierre’s Il est vrai qu'”il a transmis des informations sur ce parti, qui n’avait pas été traité de la même manière que les autres” auparavant.
Selon les mots de Jacques Rieg Boivin, “Nous avons fait des centaines de sujets sur Noël et l’Avent pendant notre mandat.” “Noël et le rayonnement du marché strasbourgeois vous doivent beaucoup”, avoue-t-il dans une conversation privée.
Le correspondant en profite pour parler de Laurence Claudepierre, Eric Schings, Philippe Vogel, du bureau de Metz, ainsi que du bureau de Dijon, entre autres sujets. “Nous vous embrassons tous, nous sommes tous avec vous”, a-t-il déclaré à la fin du discours.
Après avoir vu “JPP” pour la première fois quelques mois plus tôt, Jacques Rieg est revenu dans la région dans le but de tourner un reportage.
Le strasbourgeois dirige différents bureaux dans l’est de la France, et sa réaction à la disparition de son ami de trente ans a été remplie d’une immense émotion.
C’est un ami qui a partagé la nouvelle avec les millions de personnes qui ont toujours été fidèles au journaliste, originaire de Picardie et décédé le 2 mars dernier.
En plus de cela, le présentateur de 67 ans fait l’objet de nouvelles critiques caustiques et perturbatrices, émanant cette fois de l’extérieur de l’organisation. Quand Laurent Baffie l’a appelé “react”, “redneck” et “facho” il y a un an, il n’y a pas hésité.
Suite à un enchaînement effrayant d’événements, cet avis extrêmement tranché a été rendu. Le ministre a fait une analogie désagréable et controversée dans son reportage sur les sans-abri en déclarant :
Il y a plus de centres d’hébergement pour les plus démunis, mais en même temps, des centres pour migrants continuent d’ouvrir partout en France. Ce commentaire, jugé bien en dehors de sa responsabilité de neutralité et de nuance, avait suscité une vague d’indignation. Plusieurs plaintes avaient été déposées auprès de la Consumer Product Safety Commission.
